Les usages de la technologie banalisés grâce au confinement.
La période actuelle nous oblige à rester chez nous le plus possible. Confiner pour éradiquer le virus. Pour cela, la technologie est nécessaire afin de continuer à faire vivre le pays. Il faut donc redéfinir les codes de fonctionnement du monde. Ainsi, les habitudes n’ont pas disparu et, au contraire, été simplement digitalisé;
Continuer la vie sociale grâce à la technologie.
Des concerts virtuels.
Afin d’assurer l’offre de divertissement pendant le confinement, certaines plateformes rivalises d’ingéniosités pour continuer à réunir un maximum de personnes pour assister aux concerts.
Ainsi, le 23 avril 2020, le jeu vidéo qui affole tous les chiffres, Fortnite, a conclu un contrat avec le rappeur Travis Scott afin de réalisé un concert gratuits à tous les joueurs du jeu.
L’objectif pour Travis Scott, était de réalisé la promotion de son nouveau single pour son prochain album en orchestrant un coup de communication. Le pari est donc réussi pour les 3 parties. Un pic de joueurs de 12 millions, c’est donc connectés pour assister à la performance et on pus découvrir un nouveau son du rappeur américain.
Des compétitions sportives virtuelles.
Étant donné que toute l’actualité sportive est mise à l’arrêt. Certaines fédérations dans le monde, on rivalisé d’ingéniosité afin de continuer à faire vivre leur sport au rythme de la technologie.
Ainsi, le cyclisme à continué à vivre au niveau professionnel. La fédération suisse à donc décidé de garder la programmation du tour de suisse 2020 mais en l’adaptant aux conditions sanitaires actuelles.
Le « TDS Digital Swiss 5 » se déroule donc de façon virtuelle. Les coureurs restent chez eux, mais sur leur vélo d’appartement afin de pouvoir participer via un avatar et un environnement reconstitué. Cela permet aussi aux spectateurs d’accéder à des données sur la performance des sportifs. De plus, les commentateurs ne sont pas relégués et continues d’exercer leur travail dans cette visite sportive de la Suisse.
Cette digitalisation du monde sportif ne fait pas seulement écho au domaine professionnel, mais aussi au grand public qui se rue alors sur les cours de coaching en direct via des plateformes tels que Zoom pour un très grand nombre de participant.
Un salon international en VR.
Le domaine technologique professionnel n’est aussi pas épargné par les évènements. Le salons se retrouvent donc dans l’obligation d’annuler leur édition ou de les reporter.
Pour le salon Laval Virtual, pas question d’annuler ni de reporter. Le salon international de la VR er de la AR a fait le choix de digitaliser son édition virtuellement du 22 au 24 avril 2020. Selon son organisation c’était une façon obligatoire étant donné le domaine du salon.
Le salon c’est donc vu dans l’obligation de rendre cette édition bien évidemment gratuite, mais à continuer de favoriser le secteur de la technologie en mainetant les conférences de garndes entrpries (Microsoft, Valve, …) mais aussid e splus petites d’entre-elles.
Comme pour le cyclisme, un utilisateur va donc devoir se créer un avatar et assister dans une salle virtuelle, aménager de façon à donner des conférences, et donc écouter et regarder chaque présentation d’entreprise.
Les conférences en ligne ou également appelé webinar, dites plus classiques, réalise aussi un impressionnant taux d’audience étant donné que les clients n’ont plus à se déplacer, et peuvent même parfois et accéder gratuitement.
Aller chez le médecin sans bouger.
Pour diminuer au maximum le nombre de déplacement, la médecine généraliste, à elle aussi dû s’adapter.
Ainsi, il est dorénavant possible pour les patients, de prendre rendez-vous chez leur médecin, si leur demande ne nécessite aucune manipulation et interaction physique. Un médecin peut donc, bine évidemment poser des questions à son patients, mais aussi d’effectuer des vérifications (tel que le rythme cardiaque) ou des exercices physique chez lui pour pouvoir donner un diagnostic.
La plateforme et licorne française Doctolib, à donc été choisi comme plateforme de prédilection afin de démocratiser cette pratique
La socialisation passe par l’apéro-vidéo.
Le confinement aurait vu la création et la popularisation de nombreuse splateformes d’appels videos.
Ainsi, pour pallier l’absence d’affection physique, les concept d’apéro-vidéo se sont alors popularisés grâce à des applications. Certaines d’entre elles étaient relativement assez connu avant la période de confinement tels que Messenger, Whatsapp, ou Skype, mais d’autres ont émerger grâce à cette période tels que HouseParty (du groupe Epic Games qui à créer Fortnite) et Zoom.
Ces plateformes séduisent par leurs fonctionnalités tels que la possibilité d’ajouter des fond derrière une personne mais aussi de jouer tous ensemble, à des minis-jeux.
Poursuivre la continuité pédagogique.
Les écoles étant fermés, ils faut donc continuer d’accompagner les élèves dans leur apprentissage.
Les établissements scolaires ont donc bien évidemment tablés sur leurs plateforme personnelles ou bien sur des plateformes plus connus dans le monde pour rendre l’éducation 100% digitale, mais ce n’est pas sans compté des entreprises n’ayant aucun rapport avec l’éducation.
Ainsi, de nombreux services ont ajouter des ressources éducatives pour poursuivre la continuité pédagogique. On y retrouve YouTube avec sa pléthore de chaînes YouTube dédiés à tous les domaines de l’éducation possible. Certains enseignants passent pas par le géant de la vidéo pour réalisé en live, certains cours au plus de personnes possible. On retrouve également France Télévsion avec la chaîne France 4 qui à donc crée pour l’occasion, des créneaux horaires dédiés à chaque niveau scolaire. Enfin, l’application Molotov a aussi passé un contrat avec SchoolMouv afin d’assurer directement les cours des élèves, niveaux par niveaux, et mati!ères par matières.
Le problème c’est que dans certaines famille qui ne possèdent qu’un seul ordinateur pour tout le monde, les parents laissent l’appareil aux enfant la journée pour assurer la continuité pédagogique et sont forcée de télé travailler la nuit. Peut-être que cette expérience de télé travail mondial aura suscité chez certains, une plus grande considération pour la technologie.
Le divertissement par les jeux de société en ligne.
Les jeux de plateau sont une façon de se divertir qui existe depuis extrêmement longtemps, mais ce confinement à remis au goût du jour ces jeux d’une manière numérique.
Ainsi, les jeux de société historique en ligne ont donc vus leurs popularité explosé tels que le jeu du Picxtionnary, mais aussi le jeu du Loup-Garou, ou bien encore le célèbre UNO ou encore le Monopoly.
La surveillance banalisé.
Malgré tout, nous exposition au web nous rend aussi plus vulnérable en terme de connaissance sur nous même.
Pour ralentir l’épidémie, une application de traçage anonyme de population sera mis en place pour savoir s’il on a été con contact avec une personne malade. Mais avant même cette mise ne place, le port du masque devenant de plus en plus obligatoire ou alors recommandée, reuqiert une certaines vérification par les municipalités.
Ainsi, la ville de Cannes c’est équipé en caméra et fait confiance à une startup-up française qui développe un algorithme, afin de savoir le taux de port du masque dans la ville.
Une civilisation sans-contact.
La monnaie fait parti intégrante des facteurs de véhiculation de l’épidémie. C’est pourquoi, certains magasin demande à leur clientèle de favorisé les paiements par carte, et encore plus les paiements en sans-contact.
Ainsi, la volonté, dans un future plus ou moins proche, est claire. Supprimer l’argent liquide et électroniser la monnaie.
Durant cette période exceptionnelle, on observe donc une pression sociale en faveur du « sans-contact » dans tous les sens du terme.
Un impact écologique désastreux.
Cette volonté de tout digitaliser provoque aussi malheureusement un désastre écologique.
Le numérique consomme. Il consomme même énormément, et me^me s’il existe des manière de réduire son impact sur l’environnement, la vidéo est le facteur qui consomme le plus. Malheureusement pour la planète, Netflix fait fureur durant la période du confinement…
D’ailleurs on estime qu’au début du confinement, le trafic internet mondial, avait augmenté de 70% dans toutes les régions confinés du globe.
Le numérique est donc devenu le seul facteur de socialisation durant ce confinement. Il a même pour objectif de digitaliser la société actuelle et de redéfinir les codes actuelles qui la compose. Face à la maladie, le numérique est une bouée de sauvetage miraculeuse, qui banalise la technologie au point de la rendre de plus en plus transparente.